La force de la peinture de Catherine Chabut, provient de ce paradoxe qui voit se confronter, sans s’affronter, le ciel et la terre, le sacré et le profane, la présence et l’absence. Cet équilibre fragile est le fruit d’un cheminement patient, humble, mais résolu, d’une quête à la fois spirituelle et artistique, qui par moment, semble se confondre. Nul doute que cette peinture, lumineuse et profonde, raisonne chez ceux qui recherchent dans l’art le calme et la beauté.
Texte : Yann PERRAUD – Historien d’Art